Comme un nuage qui passe dans le plus bleu des cieux,
Troublant soudain le plus paisible des étés,
Tel un vagabond insolite et égaré,
Tu m'es apparut lointain et mystérieux.
Quel espoir envolé te rendait-il si grave,
J'aurais voulu comprendre ta mélancolie,
Mais emportée par le vent ton image a fuit,
Pourtant de celle-ci je suis restée esclave.
Si tu avais pris mon coeur et saisi ma main,
Peut-être ce jour là t'aurais je vu sourire,
Et nous jouirions d'éternels lendemains.
Mais la pluie de mes larmes s'est évaporée,
Comme un nuage j'aimerais que passe ton image,
Je veux t'oublier. Se souviens t'on d'un nuage...
Anaïs 24.03.1998
Troublant soudain le plus paisible des étés,
Tel un vagabond insolite et égaré,
Tu m'es apparut lointain et mystérieux.
Quel espoir envolé te rendait-il si grave,
J'aurais voulu comprendre ta mélancolie,
Mais emportée par le vent ton image a fuit,
Pourtant de celle-ci je suis restée esclave.
Si tu avais pris mon coeur et saisi ma main,
Peut-être ce jour là t'aurais je vu sourire,
Et nous jouirions d'éternels lendemains.
Mais la pluie de mes larmes s'est évaporée,
Comme un nuage j'aimerais que passe ton image,
Je veux t'oublier. Se souviens t'on d'un nuage...
Anaïs 24.03.1998